Une figure majeure de l’Art, Henri Cueco ouvrira le bal avec ses meutes de chiens et ses éditions en compagnie d’autres œuvres d’artistes tels qu’Edi Dubien, Julie Chaffort, le collectif COOP MOH, Karine Bonneval, Hiroshi Naruse ou encore Marjolaine Turpin, invités par une équipe de programmateurs et de commissaires d’expositions, Shoï, Julie Crenn, Jean-Michel Ponty, Frédéric Herbin, Romane Vieira, Sophie Auger Grappin, Alain Sadania ou encore Nicolas Hérubel. Ils sont à l’affût permanent, curieux et sensibles des arts les plus touchants dans ce qu’ils ont à nous dire du monde et de ses émotions, passées, présentes et futures.
Les œuvres exposées côtoient des œuvres en train de se faire, car elles sont le fruit d’ateliers auxquels tous et toutes sont invités à participer. Enfin, des événements sonores et cinématographiques viennent ponctuer l’été et rythmer nos sens en écho à des lieux du patrimoine, telle une magie propre à une ville porteuse d’histoires de l’alchimie et de la sorcellerie. Nous clôturerons cette magie avec un événement dédié aux plus jeunes et avec des visites nocturnes dans les lieux d’exposition.
Si nous reprenons les mots d’Henri Cueco : « vieillir, c’est quand l’envie perd de sa force », vous proposer alors un parcours d’art émergeant, c’est proposer une « jeune création » pleine d’une force nécessaire à la vie, à la pensée, pleine d’enjeux sociaux, politiques et éducatifs actuels. C’est en tout cas notre ambition collective qui a vocation à être infusée et à se faire joyeusement contagieuse. Que cet esprit fédérateur vous accompagne tout au long de l’été, à Bourges, ville candidate pour être capitale européenne 2028.
École nationale supérieure d'art de Bourges
BP 297, 7 rue Édouard-Branly
18006 Bourges cedex
T. : +33 2 48 69 78 79
communication@ensa-bourges.fr
www.ensa-bourges.fr
Les œuvres exposées côtoient des œuvres en train de se faire, car elles sont le fruit d’ateliers auxquels tous et toutes sont invités à participer. Enfin, des événements sonores et cinématographiques viennent ponctuer l’été et rythmer nos sens en écho à des lieux du patrimoine, telle une magie propre à une ville porteuse d’histoires de l’alchimie et de la sorcellerie. Nous clôturerons cette magie avec un événement dédié aux plus jeunes et avec des visites nocturnes dans les lieux d’exposition.
Si nous reprenons les mots d’Henri Cueco : « vieillir, c’est quand l’envie perd de sa force », vous proposer alors un parcours d’art émergeant, c’est proposer une « jeune création » pleine d’une force nécessaire à la vie, à la pensée, pleine d’enjeux sociaux, politiques et éducatifs actuels. C’est en tout cas notre ambition collective qui a vocation à être infusée et à se faire joyeusement contagieuse. Que cet esprit fédérateur vous accompagne tout au long de l’été, à Bourges, ville candidate pour être capitale européenne 2028.
École nationale supérieure d'art de Bourges
BP 297, 7 rue Édouard-Branly
18006 Bourges cedex
T. : +33 2 48 69 78 79
communication@ensa-bourges.fr
www.ensa-bourges.fr
Les Meutes. Henri Cueco & Edi. 25 juin > 18 septembre Vernissage le 24 juin de 17h30 à 23h30. -> 17h30 à La Box -> 19h à 23h30 à l’Antre Peaux, avec au programme : performances et concert >> Transpalette / Antre Peaux
Henri CUECO - Troupes de chiens (1990-1993), Acrylique sur toile de lin, 200 x 400 cm
Exposition collective
Une proposition de Julie Crenn
Dans la continuité des expositions-dialogues initiées en 2018, le Transpalette présente cet été une conversation canine entre les peintures et les dessins d’Henri Cueco (1929-2017) et un ensemble de sculptures inédit réalisé par Edi Dubien (né en 1963). La figure du chien y est centrale. L’exposition abrite ainsi une meute de corps aux significations plurielles : manifestation d’une relation intime au vivant, métaphore de la condition humaine, expression d’un amour infini envers une espèce compagne, d’une lutte contre la solitude, représentation d’une peur viscérale ou encore d’une nécessité vitale de protection. Dans l’imaginaire collectif occidental le chien adopte différents rôles. Domestiqué, il est à la fois espèce compagne, berger, gardien, guide, sauveteur, thérapeute, compagnon de chasse ou chien policier. Sauvage, il est vagabond, voleur, menace, libre.
Une proposition de Julie Crenn
Dans la continuité des expositions-dialogues initiées en 2018, le Transpalette présente cet été une conversation canine entre les peintures et les dessins d’Henri Cueco (1929-2017) et un ensemble de sculptures inédit réalisé par Edi Dubien (né en 1963). La figure du chien y est centrale. L’exposition abrite ainsi une meute de corps aux significations plurielles : manifestation d’une relation intime au vivant, métaphore de la condition humaine, expression d’un amour infini envers une espèce compagne, d’une lutte contre la solitude, représentation d’une peur viscérale ou encore d’une nécessité vitale de protection. Dans l’imaginaire collectif occidental le chien adopte différents rôles. Domestiqué, il est à la fois espèce compagne, berger, gardien, guide, sauveteur, thérapeute, compagnon de chasse ou chien policier. Sauvage, il est vagabond, voleur, menace, libre.
Cueco Multiple - 25 juin > 18 septembre Vernissage le 24 juin : -> 17h30 à La Box -> 19h à 23h30 à l’Antre Peaux - >> Galerie La Box / Ensa Bourges
Henri Cueco, Gravillons, lithographie 2e état rehaussée 2:16
Exposition monographique
Commissaires d’exposition : Frédéric Herbin et Jean-Michel Ponty.
L’importante production de séries peintes par Henri Cueco a marqué les décennies écoulées depuis les années 50. Pourtant, Cueco est également à l’origine d’un grand nombre d’éditions, d’estampes, de livres, d’écrits et d’interventions radiophoniques. L’exposition se propose de faire la part belle à ces différents visages de l’œuvre de l’artiste pour nous donner à voir un Cueco multiple que l’on a bien trop ignoré.
Commissaires d’exposition : Frédéric Herbin et Jean-Michel Ponty.
L’importante production de séries peintes par Henri Cueco a marqué les décennies écoulées depuis les années 50. Pourtant, Cueco est également à l’origine d’un grand nombre d’éditions, d’estampes, de livres, d’écrits et d’interventions radiophoniques. L’exposition se propose de faire la part belle à ces différents visages de l’œuvre de l’artiste pour nous donner à voir un Cueco multiple que l’on a bien trop ignoré.
À tâtons, les pieds dans le plat. 28 juin > 9 juillet & 23 août > 24 septembre -> Vernissage le 27 juin à 18h >> La Transversale / Lycée Alain-Fournier
Exposition collective
Flora Jamar, Sarah Jacquin, Anna Ponchon, Romane Vieira, Jordan Roger
commissaire d’exposition : Romane Vieira
Invitée à concevoir sa première exposition, Romane Vieira, diplômée de l’Ensa Bourges en 2021, met en partage performances, films et éditions questionnant le doute et les certitudes multiples avec tendresse, humour et mélancolie. Une exposition pleine de vitalité, d’humour et de rage. Les vertiges et/ou vestiges de vies remplies de doutes. Une recherche hasardeuse mais franche vers un autre système fictionnel. Sartre a écrit « l’intellectuel est perçu comme celui qui se mêle de ce qui ne le regarde pas ». Peut-être que les nouvelles fictions qui dirigent nos vies devraient être conçues par des personnes qui savent de quoi elles parlent ? Il est temps pour le doute de changer de camp.
Flora Jamar, Sarah Jacquin, Anna Ponchon, Romane Vieira, Jordan Roger
commissaire d’exposition : Romane Vieira
Invitée à concevoir sa première exposition, Romane Vieira, diplômée de l’Ensa Bourges en 2021, met en partage performances, films et éditions questionnant le doute et les certitudes multiples avec tendresse, humour et mélancolie. Une exposition pleine de vitalité, d’humour et de rage. Les vertiges et/ou vestiges de vies remplies de doutes. Une recherche hasardeuse mais franche vers un autre système fictionnel. Sartre a écrit « l’intellectuel est perçu comme celui qui se mêle de ce qui ne le regarde pas ». Peut-être que les nouvelles fictions qui dirigent nos vies devraient être conçues par des personnes qui savent de quoi elles parlent ? Il est temps pour le doute de changer de camp.
Été #6 - dans l’écart. 25 juin > 18 septembre -> Vernissage le samedi 25 juin à 18h >> Poteaux d’angle et le Lieu Parallèle Enclos des jacobins
exposition monographique
carte blanche à Hiroshi Naruse, commissaire d’exposition : Alain Sadania
Dans l’écart la création d'Hiroshi Naruse sera l’occasion pour les berruyers et les berruyères de rencontrer cette œuvre doublement singulière par son dispositif et son emplacement au cœur de la ville, enclos des Jacobins.
Rencontré une première fois, en 2009, lors de la construction d’un gymnase en bois au Lycée-en-Forêt à Montargis, j’ai pu apprécier la qualité de l’espace créé par Hiroshi Naruse pour des activités sportives. Le traitement de la lumière, le choix des matériaux, le subtil dialogue avec le milieu forestier rendaient ce lieu profondément humain. Il me précise : « Je suis architecte, paysagiste, j’installe des façades, des murs, des poteaux, des arbres et des pierres pour créer un espace entre eux... Je veux vous dire que nous passons notre temps dans cet espace. »
carte blanche à Hiroshi Naruse, commissaire d’exposition : Alain Sadania
Dans l’écart la création d'Hiroshi Naruse sera l’occasion pour les berruyers et les berruyères de rencontrer cette œuvre doublement singulière par son dispositif et son emplacement au cœur de la ville, enclos des Jacobins.
Rencontré une première fois, en 2009, lors de la construction d’un gymnase en bois au Lycée-en-Forêt à Montargis, j’ai pu apprécier la qualité de l’espace créé par Hiroshi Naruse pour des activités sportives. Le traitement de la lumière, le choix des matériaux, le subtil dialogue avec le milieu forestier rendaient ce lieu profondément humain. Il me précise : « Je suis architecte, paysagiste, j’installe des façades, des murs, des poteaux, des arbres et des pierres pour créer un espace entre eux... Je veux vous dire que nous passons notre temps dans cet espace. »
La traversée des apparences. 26 juin > 18 septembre -> Vernissage le samedi 25 juin à 18h >> Le Coin / Enclos des jacobins
Exposition collective
Étudiantes et étudiants de l’École Nationale Supérieur d'art de Bourges
Commissaire d’exposition : Nicolas Hérubel
"En écho à « l’écoute » projet réalisé dans le cadre du 1% de la Maison de la Culture de Bourges, nous irons tendre des pièges au réel aux alentours du prieuré de Bléron et peut-être même capturer les éléments d’une nouvelle fiction "
Olivier Leroi.
Le Coin présente les travaux des étudiant.e.s réalisés lors d'un workshop en mai 2022 avec l'artiste Olivier Leroy dans la forêt d'Allogny. C’est sur ces terres que le projet s’est constitué et développé, autour d’une table d’abord et dans la forêt ensuite. Avec les animaux en tête, avec pour décor une clairière dans la forêt, est apparue une étrange procession dont les spectateurs sont les habitants des lieux. Au Coin, se retrouvent quelques fragments de ces instants, des objets, des images qui témoignent de ces journées en forêt.
Étudiantes et étudiants de l’École Nationale Supérieur d'art de Bourges
Commissaire d’exposition : Nicolas Hérubel
"En écho à « l’écoute » projet réalisé dans le cadre du 1% de la Maison de la Culture de Bourges, nous irons tendre des pièges au réel aux alentours du prieuré de Bléron et peut-être même capturer les éléments d’une nouvelle fiction "
Olivier Leroi.
Le Coin présente les travaux des étudiant.e.s réalisés lors d'un workshop en mai 2022 avec l'artiste Olivier Leroy dans la forêt d'Allogny. C’est sur ces terres que le projet s’est constitué et développé, autour d’une table d’abord et dans la forêt ensuite. Avec les animaux en tête, avec pour décor une clairière dans la forêt, est apparue une étrange procession dont les spectateurs sont les habitants des lieux. Au Coin, se retrouvent quelques fragments de ces instants, des objets, des images qui témoignent de ces journées en forêt.
Extension des meutes, Julie Chaffort - 9 juillet > 18 septembre -> Vernissage le 8 juillet à 18h30 >> Château d’eau - Château d’Art
CHIENS-LOUPS © Julie Chaffort-image extraite de la video-2015.jpg
Exposition monographique
Une proposition de Julie Crenn.
En parallèle de l’exposition dialogue Les Meutes : Henri Cueco et Edi Dubien présentée au Transpalette, Julie Chaffort présente au Château d’Eau un ensemble d’œuvres vidéos où les animaux y trouvent une place centrale. L’Extension des meutes nous invite à des rencontres inattendues, aussi jouissives qu’inconfortables. Les œuvres de Julie Chaffort réveillent en effet une mémoire inscrite dans nos chairs, elles remuent quelque chose d’ancestral, d’indicible et de fondamental – quelque chose qui va bien plus loin que les limites de nos propres corps. Quelque chose qui nous dépasse et qui participe d’un chant commun. L’artiste met en scène et en œuvre une poésie invisible ou à peine perceptible. Elle nous immerge dans la vie, les vies entremêlées d’un écosystème en mouvement perpétuel et qui atteste de « la jouissance d’être vivants avec d’autres ».
Une proposition de Julie Crenn.
En parallèle de l’exposition dialogue Les Meutes : Henri Cueco et Edi Dubien présentée au Transpalette, Julie Chaffort présente au Château d’Eau un ensemble d’œuvres vidéos où les animaux y trouvent une place centrale. L’Extension des meutes nous invite à des rencontres inattendues, aussi jouissives qu’inconfortables. Les œuvres de Julie Chaffort réveillent en effet une mémoire inscrite dans nos chairs, elles remuent quelque chose d’ancestral, d’indicible et de fondamental – quelque chose qui va bien plus loin que les limites de nos propres corps. Quelque chose qui nous dépasse et qui participe d’un chant commun. L’artiste met en scène et en œuvre une poésie invisible ou à peine perceptible. Elle nous immerge dans la vie, les vies entremêlées d’un écosystème en mouvement perpétuel et qui atteste de « la jouissance d’être vivants avec d’autres ».
Allons voir ! Parcours d’art contemporain en Pays Fort. 3 juillet > 18 septembre -> Vernissage le 2 juillet à 16h30 à la grange de Vailly-sur-Sauldre, suivi d’une visite commentée du parcours en présence des artistes >> Office de tourisme - Grange pyramidale
Exposition collective sur plusieurs sites du Pays Fort
Karine Bonneval, Delphine Ciavaldini, Léa Devenelle, Claude Pasquer, Paul Ricci, Vladimir Skoda, et Marjolaine Turpin
Commissaire d’exposition : Sophie Auger Grappin
Allons voir ! propose à des artistes d’intervenir dans et autour de différents sites ruraux, fermes, moulins, granges (notamment les granges pyramidales du XVIe siècle emblématiques de cette région), ou encore silos ou lavoirs, dans diverses communes du Pays Fort (nord du Cher). Ce circuit artistique permet de découvrir cette micro-région agricole sous un nouveau jour et porter un regard renouvelé sur la ruralité.
Karine Bonneval, Delphine Ciavaldini, Léa Devenelle, Claude Pasquer, Paul Ricci, Vladimir Skoda, et Marjolaine Turpin
Commissaire d’exposition : Sophie Auger Grappin
Allons voir ! propose à des artistes d’intervenir dans et autour de différents sites ruraux, fermes, moulins, granges (notamment les granges pyramidales du XVIe siècle emblématiques de cette région), ou encore silos ou lavoirs, dans diverses communes du Pays Fort (nord du Cher). Ce circuit artistique permet de découvrir cette micro-région agricole sous un nouveau jour et porter un regard renouvelé sur la ruralité.